Me restera - si je devais n'en garder qu'un - le souvenir de La muerte de Artemio Cruz, livre d'une perspicacité rare, d'une acidité et d'une poésie paradoxales, confondantes et saisissantes d'intelligence.
Je laisserai Paz le poète conclure pour moi, et je vous offre la traduction:
'' Et comme l'air entre les feuilles
se perdre dans le feuillage de la brume
et comme l'air, être des lèvres sans corps,
un corps sans poids, une force sans rives !''
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